One of the outstanding presences in recent years in the city of Rio de Janeiro (in Brazil) have been the rounds and street parties carried out by a group of women who, through music, threads and gestures, updated the demands feminists and post-feminists at the start of this decade. Requirements such as the right to the body, to the city, to pleasure and possible transitivities are present in the performances of these artists, who use the street as a stage and political writing of their bodies. The “feminine rhymes rounds” which occupy urban spaces in the various localities of the country - from hip-hop or slam to poetry - today constituting fundamental spaces for the expression and visibility of the new wave of feminism itself. It occurs in a more authoritarian context in Brazil. Based on the specialized literature and the cartographic method, this article aims to rethink the vitality and the capacity for movement of music and rhymed sounds - that of their performances - aesthetically and politically potentiate the "art-ivist" experiences in the city of Rio de Janeiro, elaborating territorialities and dissent.
L’une des présences marquantes ces années dernières dans la ville de Rio de Janeiro (au Brésil) ont été les rondes et fêtes de rue réalisées par un groupe de femmes qui, à travers des musiques, fils et gestes, mis à jour les exigences féministes et post-féministes au début de cette décennie. Des exigences telles que le droit au corps, à la ville, au plaisir et aux transitivités possibles sont présentes dans les spectacles de ces artistes, qui utilisent la rue en tant que scène et écriture politique de leurs corps. Les “rondes féminines de rimes” qui occupent des espaces urbains dans les différentes localités du pays - de hip-hop ou de slam de poésie - constituante aujourd’hui des espaces fondamentaux pour l’expression et la visibilité de la nouvelle vague de féminisme même si se produit dans un contexte plus autoritaire au Brésil. Basé sur la littérature spécialisée et la méthode cartographique, cet article vise à repenser la vitalité et la capacité de mouvement de la musique et des sons rimés - que de leurs performances - potentialisent esthétiquement et politiquement les expériences “art-ivistes” dans la ville de Rio de Janeiro, élaborant des territorialités et des dissentiments.
Refback:FERNANDES, C. S.; HERSCHMANN, M. . Musique, sons et dissidence: le pouvoir poetique feminin dans les rues de Rio de Janeiro. ECHO Rivista Interdisciplinare di Comunicazione, v. 2, p. 77-87, 2020.
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